Les didi, les dix doigts de « - Ô my Sir » dans la culotte d’un zouave, sous le Pont de l’ Alma
Les didi, les divergences, les didix verges de cette engeance qui se dit diligente gentry jusque dans la vengeance
Les didi, les disputes de trois quart de putes audiovisuelles, et les fredaines de demi mondaines aux émoluments vraiment déments
Les didi, les dithyrambes de les didi les divers plumitifs hâtifs à la rubrique faits divers, qui rampent pour des piges sur des callipyges dans des canards pour connards cent pour cent sang
Les didi, les dignités bafouées par les papas ras du zizi au paradis éhontés des journaleux aux chiens crevés
Les didi, les dealeurs de petites transes qui leur dit l’heure des souffrances aux pauvres ou laids de France qui ne lancent que des rêves rances de vie et de vits au Palais
Les didi, l’édition maligne de centaines de livres, pas toujours sterling, dont la parution des lignes ne délivrent que de mauvaises réponses à de mauvaises questions
Les didi, les disparus qui envahissent la rue, les amants accidentés transformés en aimants acides hantés
Les didi, l’édification, pour ne pas dire l’érection, de monuments sur dénuement du vent
Les didi, laide idylle à Westminster, belle idylle chez les cokneys, pour eux deux nous ne saurons jamais
Les didi, les digestions amères sur les didi diffusions dans toutes les didi directions de les didi dissonances de les didi divorcés, d’abord les didi les diabolisés, puis les didi les divinisés
Les didi, les diatribes d’ici ne sont que les didi les digressions de les didi dissidents qui prônent la distanciation face à les didi les discours et les didi les divagations sur la divulgation sur les didi
Les dix doigts de « - Ô my sir ! » dans la culotte d’un zouave sous le Pont de l’Alma