Lézards zéros
Lézards plastiques
Lez'écritures
Lez'oeufs
douarnenezeries
Fil d'ariane

 

Les didi

Les didi, les dix doigts de « - Ô my Sir » dans la culotte d’un zouave, sous le Pont de l’ Alma

Les didi, les divergences, les didix verges de cette engeance qui se dit diligente gentry jusque dans la vengeance

Les didi, les disputes de trois quart de putes audiovisuelles, et les fredaines de demi mondaines aux émoluments vraiment déments

Les didi, les dithyrambes de les didi les divers plumitifs hâtifs à la rubrique faits divers, qui rampent pour des piges sur des callipyges dans des canards pour connards cent pour cent sang

Les didi, les dignités bafouées par les papas ras du zizi au paradis éhontés des journaleux aux chiens crevés

Les didi, les dealeurs de petites transes qui leur dit l’heure des souffrances aux pauvres ou laids de France qui ne lancent que des rêves rances de vie et de vits au Palais

Les didi, l’édition maligne de centaines de livres, pas toujours sterling, dont la parution des lignes ne délivrent que de mauvaises réponses à de mauvaises questions

Les didi, les disparus qui envahissent la rue, les amants accidentés transformés en aimants acides hantés

Les didi, l’édification, pour ne pas dire l’érection, de monuments sur dénuement du vent

Les didi, laide idylle à Westminster, belle idylle chez les cokneys, pour eux deux nous ne saurons jamais

Les didi, les digestions amères sur les didi diffusions dans toutes les didi directions de les didi dissonances de les didi divorcés, d’abord les didi les diabolisés, puis les didi les divinisés

Les didi, les diatribes d’ici ne sont que les didi les digressions de les didi dissidents qui prônent la distanciation face à les didi les discours et les didi les divagations sur la divulgation sur les didi

Les dix doigts de « - Ô my sir ! » dans la culotte d’un zouave sous le Pont de l’Alma

imprimer retour en haut de la page
contactez Les arts zéros
Les réseaux sociaux
Consultez les mentions légales