Tu décrètes ma mort, je découvre mon absolu.
---
Le berger des loups décréta qu'il gérait un cheptel de moutons
jusqu'au premier coup de mâchoires imprévu de l'individu
se réappropriant son essence.
---
Seul l'esclave possède la dialectique du maître et de l'esclave.
Le maître peut affranchir, l'esclave, lui, abolir l'esclavage.
---
"Se promouvoir chef, pulsion partagée par les rats et les chiens.
Ma poésie… un autre pouvoir."
---
"Qui es-tu vermisseau qui ne courbe la tête ? "
"Celui qui te regarde droit dans les yeux."
---
Par haine de l'humanité ils usineront des clones, dégénérescence.
---
Le chien me protège du loup. Qui me protège du berger ?
---
Epuisé de la lutte contre des cons, fuir… hélas, vers d'autres cons.
---
Détruisent par mort lente et pleurent à ton enterrement.
---
Nul besoin d'acheter mon silence, tu as gagné mon mépris.
---
Comment aurais-je pu savoir que ma voisine agonisait en totale solitude ?
Elle ne se branchait plus sur facebook.
---
Tu me veux chien, crains la rage.
---
Par phobie de l'ombre, coupe l'arbre et se prive du fruit.
---
Obéissance stupide au maître, le nier.
---
Se croit vivant à la tête d'une escouade de zombies.
---
Même ton silence pue.
---
Obligation sociale de respecter ta fonction… uniquement ta fonction.
---
Déjà tu m'indiffères, sauf ta puanteur.
---
Trop pédant pour saisir mon orgueil et mon humilité.
---
Je me renforce de vos ratures.
---
Petit jusqu'en sa méchanceté.
---
Ne pas employer tes armes, ne pas te ressembler.
---
Ta merde me purifie.